Bonjour à toutes et à tous,
La Nouvelle Lune aura lieu le 28 février 2025 à 0h44 en temps universel, 1h44 à Paris, 8h44 à Hong Kong, le 27 février, 20h44 à Montréal.
Le Soleil et la Lune ont rendez-vous à 9°41 en Poissons. Pour célébrer la dernière Nouvelle Lune de l’année astrologique qui prendra naissance au prochain équinoxe avec le signe de Feu du Bélier, le Ciel tient d’évidence à dire un grand au revoir à l’énergie des Poissons qui tire sa révérence en Beauté avec un amas d’énergie considérable : Cérès, Soleil, Lune, Saturne, Nœud Nord, Mercure.
À noter que l’astéroïde Psyché et la planète Neptune sont également dans le signe d’Eau des Poissons en conjonction serrée.
De surcroît, Neptune le grand Maître des Poissons, quittera son énergie de prédilection à la fin du mois de mars, lorsque nous assisterons à la dernière conjonction Soleil-Neptune en Poissons la veille de l’équinoxe du mois de mars.
Sans compter que dans ce ciel de Nouvelle Lune, un grand triangle équilatéral se dessine avec une belle conjonction Vesta-Poséidon en Scorpion, signe d’Eau, avec Mars toujours en Cancer, qui est également un signe d’Eau. Un Mars, certes toujours en chute, mais qui a retrouvé toute sa vigueur en redevenant direct le 24 février dernier pour se diriger vers le feu du Lion.
Quel message nous envoie le Ciel avec ce grand triangle en signe d’Eau ?
Faites la Paix ! Aimez-vous les uns les autres ! Traduction personnelle : Faisons la Paix dans nos cœurs, cessons ces conflits, ces tempêtes mentales qui viennent ternir notre joie de vivre.
Le moment est solennel. Il peut sembler dérisoire de penser que nous sommes à un moment clef de l’histoire de l’humanité, et pourtant ! Vient à nous l’immense espoir d’éradiquer l’esprit de guerre de notre planète.
Le Christ révéla la portée de son énergie spirituelle au tout début de l’Ère des Poissons. Nous sommes à la fin des temps de ce signe double. Verrons-nous le chaos se répandre comme il est annoncé par certaines Traditions ou bien, finirons-nous par être touchés comme une évidence par cette force christique pour saisir enfin qu’il n’y a pas d’autre alternative que de nous entendre si nous voulons continuer notre aventure sur cette planète bleue. Cette force d’Amour christique est exprimée sous d’autres formes selon les différents courants spirituels, mais elle existe assurément dans nos cœurs. Tous les véritables prophètes et sages l’ont enseigné et nous l’enseignent encore.
Notre structure d’être se transforme, l’Homo Spiritualis va prendre la place de l’Homo Sapiens.
Reste à prier pour que cet esprit de paix et de véritable spiritualité se répande jusque dans le cœur des puissants dirigeants de la planète, sachant qu’avant d’entrer dans l’âge d’Or, il nous reste une dernière porte à franchir, la douzième Porte sacrée du Zodiaque, celle justement symbolisée par le signe des Poissons. Ce qui souligne l’importance et l’urgence du temps de l’Histoire qui démarre avec cette Nouvelle Lune en Poissons (Voir à ce propos le bulletin AFR d’Arouna Au Fil de ce temps « historique » de Nouvelle Lune) et étudions de près le douzième Travail d’Hercule qui correspond au signe des Poissons, le 12ème signe du zodiaque.
La capture des bœufs roux de Géryon
Quand Eurysthée, l’instructeur d’Hercule, lui signifia le douzième et dernier travail de la roue du Zodiaque à accomplir, il le mit rudement en garde : « Quitte l’indolence qui te taquine sans cesse, sors de l’illusion et réfléchis ».
Ce que demandait Eurysthée sembla impossible à Hercule. Le troupeau des bœufs roux se trouvait sur Erythée, une île que les Grecs anciens, au mental certes performant, mais souvent bien têtu, ne savaient pas localiser.
Comment se rendre en un lieu inconnu ? Un trait de Lumière venant d’Hélios, le Dieu solaire, lui suggéra que si le troupeau des bœufs était roux, c’était que probablement le soleil couchant devait éclairer leur pelage. Il décida donc de suivre la course du Soleil vers L’Ouest et ainsi atteindre les portes de l’Atlante. Face au mystère du grand océan Atlantique, qui symbolise la part inconnue de notre psyché, Hercule ne sut à nouveau plus quoi faire.
Pénétrant dans le Temple d’Hélios, il invoqua la Lumière. Le Dieu bienveillant en guise de vaisseau lui offrit une coupe d’Or qui non seulement savait fendre les vagues de l’océan, mais connaissait très exactement où se trouvait l’île mystérieuse d’Erythée. À peine arrivé, le Héros fut frappé par une sorte de torpeur qui l’empêchait d’aligner deux idées cohérentes de suite : Il venait de poser le pied en une terre ténébreuse où l’illusion régnait en maître !
Avançant sans prudence, il découvrit rapidement le grand troupeau qui paissait, lui sembla-t-il, en toute tranquillité dans la lumière rougeoyante d’un soleil couchant. Tout semblait si calme qu’il eut envie de se fondre dans l’ambiance lénifiante que produisait la léthargie de ces animaux sans conscience.
Un nouveau trait de Lumière vint à son esprit : Hélios lui venait à nouveau à l’aide pour lui rappeler les paroles de son instructeur : Sors de ton indolence, REFLECHIS. Immédiatement apparut à Hercule la réalité que portait cette île qui appartenait au despote Géryon, ce monstre difforme qui prétendait être l’homme le plus fort du monde et qui annonçait avec véhémence que le troupeau lui appartenait. Le hideux Eurytion en était le berger, assisté par Orthros, un chien féroce possédant deux têtes. Appelons cela le service d’ordre du despote.
Hercule, plutôt que d’utiliser sa force légendaire, eut une magnifique intuition, il souffla sur chaque animal du troupeau le même trait de Lumière qu’il avait reçu d’Hélios, si bien que le troupeau s’éveilla et marcha sur Géryon qui, soudain impuissant, disparut pour retourner dans les ténèbres qui l’avaient créé, accompagné de ses deux tristes acolytes.
Le troupeau dans son entièreté embarqua dans la grande Coupe d’Or pour se rendre dans la véritable île de l’Ouest, la Cité sacrée de l’Atlantide.
Dans cette épreuve en remake de ce qu’Arouna appelle le karma atlantéeen, le troupeau, c’est nous. Nous tous, l’humanité.
Hercule, c’est tout aussi nous, si nous voulons bien sortir de la torpeur.
Vous avez certainement une idée de qui peuvent être en nous, Géryon le despote et ses associés ?
La Cité sacrée est notre lieu de résidence quand nous décidons de revêtir notre habit de Lumière.
Avec cette Nouvelle Lune, la douzième porte est devant nous, franchissons-là avec un désir d’âme ardent, pour renaître à Pâques après un grand équinoxe de renouveau. Les lumières arouniennes si inspirantes vont, j’en suis sûr, nous accompagner.
À toutes les Atlantéennes, à tous les Atlantéens qui n’ont pas oublié leur île de Lumière, Arouna et moi-même vous souhaitons un très, très long séjour en votre Terre de Félicité, de Paix, de Joie et d’Amour, en espérant que ceux qui se soumettront à leur despote intérieur, en écho aux despotes extérieurs que portent le monde, vous rejoindront bientôt.
Gardez la Lumière
Philippe et Arouna
Les références de ce bulletin
📋 Bulletin AFR d’Arouna en écho à cette lecture : Au Fil de ce temps « historique » de Nouvelle Lune du 28 février
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